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DFZ, book 2: Part-Time Gods de Rachel Aaron

Auto édité, 310 pages, 2020, Urban fantasy + SF

J’apprécie toujours autant l’humour léger de cette série et le coté familier et réconfortant que m’apporte cette lecture.

Notre héroïne, Opal, est toujours focalisé sur gagner un maximum d’argent de la dette qu’elle doit rembourser à son père pour être libre.
Celui ci ne veut pas la laisser partir, étant têtu comme une mule (comme un dragon, ce qu’il est en fait). Il lui a donc lancé une malédiction qui fait qu’elle ne peux quasiment pas gagner d’argent.

Pour compenser le fait d’être toujours perdante dans ses affaires, Opal va devoir se montrer créative et aller chercher ses revenus ailleurs.
Mais ce qu’elle ne sait pas c’est que ses manœuvres commencent à détruire son père. En effet celui ci puise sa magie dans sa force vitale. Et c’est exactement ce qu’attendaient ses rivaux et ses ennemis, de le trouver affaiblit pour tenter de s’emparer de son territoire. Et bien sur ceux ci trouvent que s’occuper de la fille humaine est plus attractif que de s’attaquer directement au dragon lui même …

Je trouve cette série vraiment bien foutue. Opal est une petite tête de mule qui voudrait sa liberté parce qu’elle a l’impression d’être mal considéré et qu’on ne l’aime pas. Elle ne se rend compte qu’en fait c’est l’inverse et qu’elle est en train de détruire quelqu’un qui l’a élevé et étant un dragon millénaire possessif qui ne pense pas comme un humain, préférera se laisser mourir que de reconnaître sa défaite et la laisser partir loin de lui.

Bien sur cette relation problématique pourrait très bien être plus le sujet d’un livre d’horreur suivant la façon dont l’ensemble est présenté et les caractères des personnages. Mais l’autrice arrive bien à nous montrer avec son humour et son humanité qu’il s’agit en fait juste de mauvaise communication entre les deux et qu’ils s’aiment en fait énormément. Opal est blessée par la façon dont son père qu’elle adore la surnomme et le fait qu’il dise ouvertement qu’elle est son échec. Elle ne se rend pas compte que derrière cette façade d’être inflexible qui se moque d’elle, il l’aime plus que tout. Du coup elle n’a qu’une envie : rompre les ponts pour moins souffrir.

L’ensemble reste donc très positif dans son esprit comme la série principale. C’est plein de bons sentiments et ça met du baume au cœur de voir toute cette situation commencer à se réparer. Dans ce tome chaque coté commence à comprendre les erreurs qu’ils ont fait et tentent de les réparer.
Je suis toujours ravie de ma lecture.

Bon, je reconnais que ça ne sera certainement pas pour tout le monde, mais franchement moi ça me fait plaisir ce genre de lectures simples et réconfortantes de temps en temps, surtout au vu de la situation actuelle.
Un peu comme lire du cozy mystery. J’appellerai ça de la Cozy urban fantasy. Ça fait une bonne coupure au milieu d’autre lectures plus dramatiques et qui du coup peuvent être plus anxiogènes.



Mon avis sur les autres tomes de la série.

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2 commentaires sur “DFZ, book 2: Part-Time Gods de Rachel Aaron

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    1. Oui de la VO auto édité du coup pas forcement le plus attractif pour les éditeurs, surtout que la série principale a un protagoniste masculin ce qui est encore moins vendeur pour les éditeurs vf (même les nouveaux).
      Dommage, mais je croise quand même les doigts, ils ont bien fini par penser à Lindsay Buroker xD

      J’aime

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