Années de sortie : 2017 VO, 2019 VF
Éditeur : L’Atalante
Nombre de pages : 336
Genre : Science-fiction
Parmi ces 48 systèmes un seul est une planète entièrement habitable pour l’homme, End (car elle est tout au bout du réseau). Tout les autres ne sont que des stations, des villes sous dômes dans des lieux inhospitalier et autres mines dans l’espace.
Mais le Flux n’est pas statique, il est juste très lent. Et ça la plupart des humains l’ont totalement oublié car ça fait des centaines d’années que son changement ne les a pas affecté. Donc personne n’est préparé quand le réseau permettant de partir de End, l’unique planète de l’interdépendance se met à cafouiller …
Personne? Enfin presque …
Nous suivons dans cette période critique un certain nombre de personnages.
Cardenia la bâtarde de l’Emperox mourant qui est devenu son unique héritière suite au décès de son fils unique. Elle n’a jamais fait de politique ni été impliqué dans la vie publique de son père. Il le dit lui même : elle n’est pas vraiment faite pour ça et aura surement pas mal de problèmes.
J’ai bien apprécié ces personnages. Ils sont bien différents et certains m’ont bien fait rire avec leur parlé bien à eux (Kiva par exemple). C’est un livre ou j’ai aussi bien apprécié les antagonistes. Ils sont certes un peu caricaturaux (surtout les plus âgés de la fratrie) mais le plus jeune était un opposant avec du potentiel (même si il fait des erreurs ).
Le problème lié au changement du Flux c’est que l’Interdépendance porte bien son nom : les différents systèmes sont dépendants les uns des autres. La plupart ne pourraient pas survivre seuls plus de quelques dizaines d’années au mieux si leurs machines sont bien entretenues. Il leur manqueraient la matière première et le savoir faire nécessaire pour renouveler l’ensemble. Sans parler qu’ils sont tous pour la plupart une population assez peu nombreuse qui ne se renouvelle que par l’extérieur.
Scalzi à le don pour rendre les choses bien plus accessible et fun. Du coup l’ensemble donne une impression de légèreté en comparaison. Dans le bon sens du terme.
Après c’est aussi le premier tome, et ça viendra peut être dans les suivants. Mais pour l’instant il est sans doute un des livres les plus « oubliables » de Scalzi. Bien plaisant à lire sur le coup mais sans gros plus pour rester dans ma mémoire sur le long terme.
Un livre oubliable que tu notes 16/20… Quand tu aimes ca doit donner du 25/20 au moins 😉
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En fait mon système de notation fait que 16 c'est tout juste après la moyenne (qui est de 15 xD)Le truc c'est que pour moi un livre que je fini vaut forcement 10 (parce que je ne termine que ce que je trouve un minimum acceptable, les notes en dessous étant réservées aux livres que j'abandonne). Et ensuite du coup de 10 à 20 la moyenne c'est bien 15 ;)15 c'est bien mais sans plus16 c'est les lectures que j'ai bien apprécié. Pas particulièrement remarquables sur le très long terme, mais dont je ne peux pas dire du mal pour autant.17 c'est bon et remarquable 18 très bon (et je n'ai jamais mis au dessus sauf pour le T13 de la roue du temps qui a eu un 18.5 ou un 19 je ne me souviens plus)
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Il vient d'arriver dans ma PAL est j'ai très envie de le lire ! J'espère que je passerai un bon moment après la controverse de Zara XXIII, j'ai hate de retrouver cet auteur 😉
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J'espère aussi 🙂
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Merci pour les explications 😉 Tu as 20/20 ! 😉
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